Les plus de la phyto-cosmétique

Les plus de la phyto-cosmétique

Tous les jours, les publicités sur les cosmétiques n’évoquent que douceur, beauté et raffinement.
Elles oublient volontairement de montrer l’envers du décor : ingrédients chimiques peu recommandables et souvent agressifs pour la peau, parfums artificiels pour masquer la puanteur du produit, tests sur animaux et bien d’autres… (voir site http://www.penntybio.com/cosm/guide-cosmetox.pdf ).

Pourquoi tolérer une telle hypocrisie et ne pas préférer des alternatives naturelles, meilleures pour votre santé et votre portefeuille !

De plus mes conseils de praticienne en naturopathie, nous permettrons de sélectionner vos produits cosmétiques, d’agir de façon individuelle sur votre santé et votre bien-être en alliant les bienfaits des ingrédients.

Car, malgré l’attention quotidienne que nous portons à nourrir notre corps de l’intérieur, avec des aliments frais, de qualité bio, la plupart d’entre nous se contentent de produits industrialisés, synthétiques et chimiques pour entretenir leur corps de l’extérieur.

Devenez des consommateurs avertis, capables de se renseigner sur le contenu des produits cosmétiques car les laboratoires sont obligés depuis 1998 d’afficher la liste des ingrédients de tout produit sur leur emballage.

Mais mis à part certains composants choisis pour mettre en valeur le produit ou améliorer son image de marque, notamment des extraits de plantes, généralement présents en faible quantité (moins de 1 % !), le reste de la liste est incompréhensible, sauf pour les personnes qui possèdent des connaissances élargies dans le domaine de la cosmétique.

Comment faire la différence entre les produits phyto-cosmétiques d’origine biologique controlée et les autres produits dits “naturels” ?

Conseil lecture : excellente et incontournable bible sur les réalités de la cosmétique actuelle.

Même s’ils sont fabriqués à partir d’une même recette au départ, les différences entre un produit réellement naturel d’origine biologique et la plupart des autres produits issus des laboratoires cosmétologiques ou pharmaceutiques sont énormes. Prenons d’abord le premier ingrédient : l’eau (sur l’étiquette, elle est transcrite “aqua”).
Un produit de qualité bio contiendra au moins une eau de source, sinon une eau florale, un hydrolat, un extrait hydro-glycolique de plantes, etc… Mais la grande majorité de produits naturels contiennent une eau stérilisée bactériologiquement saine, mais sans vie.

Souvent le deuxième ingrédient après l’eau sera la glycérine ou le glycérol, un agent hydratant.
Il est le plus souvent dérivé des graisses animales et de l’huile minérale, donc un sous-produit de l’abattoir et de l’industrie pétrochimique…
Plus rarement, il est issu des huiles végétales, et seule la glycérine végétale devrait être incorporée dans des produits de qualité biologique.

Pour finir, la phase huileuse : il faut à la base une huile ou un beurre végétal de qualité, telles les huiles d’Amande douce, de Jojoba, d’Avocat, etc…, de préférence vierges et résultant d’une première pression à froid (qui apporte des éléments nutritifs) ou des beurres de Cacao, de Karité, de Noix de coco.
Mais en lisant les étiquettes de la plupart des produits de soin, l’ingrédient suivant après “aqua” et “glycérine” risque d’être “paraffinium liquidum” ou “cocos nucifera” ou encore “capric-caprylic-triglycérides”.

Le premier est une huile minérale, un vulgaire sous-produit de l’industrie pétrochimique, qui, loin d’apporter vitalité et soin à la peau, ne fait que boucher les pores et peut créer des irritations cutanées (y compris l’acné). Il empêche la peau de respirer et en plus il figure sur la liste de la FDA (Food and Drug Administration américaine) des produits suspectés d’être cancérigènes !

La majorité des fabricants se contentent de conservateurs chimiques de synthèse, plus ou moins allergisants, plus ou moins toxiques…

Si le sujet vous intéresse et que vous souhaitez passer le pas du consommateur au créateur de cosmétique, une série de livres vous est conseillée. Bonne lecture !

Gemmothérapie et phytembryothérapie.

Gemmothérapie et phytembryothérapie.

L’utilisation des macérats de bourgeons pour les soins, appelée gemmothérapie ou phytembryothérapie, appartient au domaine de la phytothérapie à la différence qu’elle utilise des bourgeons d’arbres et de plantes, ainsi que d’autres tissus végétaux en voie de croissance.

Véritable phytothérapie cellulaire, les bourgeons renferment les principes les plus actifs de l’arbre ou de la plante, car ils contiennent toute l’énergie et les propriétés des différentes parties en devenir de l’arbre et de la plante.

Simple, efficace et naturelle, la gemmothérapie ou phytembryothérapie augmente l’efficacité d’autres produits en phytothérapie ou en homéopathie.

Riche en principes actifs vivants (acides nucléiques), les bourgeons contiennent également des vitamines, minéraux, oligo-éléments, enzymes et hormones. Ils constituent des bio-régulateurs visant à renforcer les défenses naturelles du corps et à détoxiquer l’organisme par un drainage systémique (c’est-à-dire système par système, favorisant une revitalisation générale de l’organisme, en éliminant les substances toxiques et déchets, réduisant les risques de pathologie).

Les extraits de bourgeons sont non toxiques et se présentent sous forme de macérat-mère ou en dilution 1DH  avec ou sans glycérine soluble dans l’eau (parfois remplacé par du sirop d’Agave et de l’Armagnac) que l’on prend de 5 à 10 minutes avant les repas.

Préparation des produits :

On trouve soit des préparations appelées “macérats glycérinés” à utiliser directement, soit des macérats dilués selon la méthode homéopatique.

Ces deux modes de préparations correspondent à 2 écoles de pensée. Dans les années 60, un médecin belge, le docteur Pol Henry met à macérer des bourgeons frais dans un mélange eau, alcool, glycérine pendant 3 semaines à température ambiante, puis filtre le tout. Il obtient le macérat-mère qui peut se comparer à une teinture mère, mais en moins concentré (proportions de 1/20 plutôt que 1/10 du poids sec végétal mis en oeuvre). Il parle alors de “phytoembryothérapie”. On le consomme dilué dans un peu d’eau à raison de 20 à 40 gouttes par jour.

Dans les années 70, le docteur Max Tétau, médecin homéopathe, reprend ces travaux et crée le terme de “gemmothérapie”. Il prépare les macérats dans un mélange alcool et glycérine sans eau. Le macérat-mère est dilué au 1/10ème, 1ère décimale Hahnemanienne (1DH), selon le principe homéopathique de la dilution.

Moins pratique, puisqu’il faut en prendre plus d’une centaine de gouttes par jour, disent les uns, mais présentant moins de danger disent les autres. Pour renforcer les effets, il est recommandé de les associer.

C’est la raison pour laquelle il est recommandé de s’adresser à un thérapeute spécialisé en gemmothérapie / phytembryothérapie afin de définir les complexes pour cibler au mieux le ou les systèmes défaillants (circulatoire, pulmonaire, ostéo-articulaires, etc…).


Atelier le samedi 16 mars 2013 de 9h30 à 17h00 à L’espace Armony St Etienne de St Geoirs (38) COMPLET !!

Atelier le samedi 16 mars 2013 de 9h30 à 17h00 à L’espace Armony St Etienne de St Geoirs (38) COMPLET !!

La Naturopathie au fil des saisons…

Au printemps le grand réveil !

Grâce à la naturopathie, donnez-vous les moyens
de rester en bonne santé au fil des saisons.

Le samedi 16 mars 2013 de 9h30 à 17h00

Lieu : Espace Armony – 60 rue Octave Chenavas
38590 St Etienne de St Geoirs

Tarif : 75 euros

Renseignements et inscription :

Isabelle Meyer 06 26 07 77 85  info@isanature.org

Au printemps les faiblesses de notre foie et de notre vésicule biliaire se manifestent (mauvaise digestion, fatigue chronique, lourdeurs des  jambes, etc…).

Bien des symptômes dont on ne tient pas compte en se disant « ça va passer »

Pour une démarche préventive bien adaptée, 1 journée riche en conseils personnalisés :

L’alimentation : des suggestions nutritionnelles de saison vous donneront inspiration et motivation.

Équilibre des repas, hygiène intestinale (nettoyage, libération et tonification des intestins et régénération de la flore intestinale).

La micro-nutrition : en apportant certains nutriments spécifiques selon un bilan pour réguler la flore intestinale – régénérer la muqueuse intestinale et son rôle d’assimilation des nutriments – compenser les carences saisonnières en certaines vitamines / minéraux / oligoéléments.

La phytothérapie : en prenant une synergie de plantes médicinales (gemmothérapie – teintures mères – tisanes) pour éliminer les toxines, soutenir le foie, renforcer le système immunitaire.

La biokinésie : synthèse de différentes techniques ostéo-musculaires douces. Exercices de respiration, de mouvements spécifiques et de postures selon le tempérament de chacun, permettant d’assouplir les articulations et la colonne vertébrale, d’améliorer le fonctionnement des organes, de diminuer les effets du stress et de stimuler l’énergie de la personne. Gi-Gong (les auto-massages et mouvements de Brocart).